Influencées par leur passage dans la « jungle » de Calais, les deux artistes jouent sur l’évocation du dédoublement, de l’errance, de l’altérité; une performance interactive entre la musique répétitive et les machinimas (films réalisés à partir de moteurs de jeux vidéo), entre réel et virtuel.
La sonorisation de la salle donne au public la sensation d’immersion sonore totale.
L’univers visuel se déploie sur les musiques de Steve Reich, John Cage et Arvo Pärt jusqu’aux improvisations sur piano préparé.